Tu comprendras quand tu seras plus grande, Virginie Grimaldi

Hello ma jolie city !

Et si on parlait livre aujourd’hui ?

Virginie Grimaldi, tout le monde la connaît, je ne vous apprendrais rien si je vous dis qu’elle est aussi notre adorable blogueuse FemmeSweetFemme  ? 

Son premier roman, j’avais traîné un peu à l’acheter, je lisais les commentaires des autres blogueuses, les commentaires de ses fans sur sa page auteur, et plus le temps passait plus j’avais envie de passer à la découverte de son roman. J’ai donc lu le premier « Le premier jour du reste de ma vie » qui m’avait énormément troublé, un livre attachant.

Et puis, elle ne s’est pas arrêté en si bon chemin, heureusement pour nous, un deuxième puis un troisième roman. Je savais déjà que ce serait des pépites, alors j’ai laissé passé le temps, j’ai repoussé le moment où j’allais tombé dans ses pages, dans ses mots justes. En passant à la bibliothèque avec ma fille, je l’ai aperçu dans les étagères, on s’est regardé et je n’ai pas résisté.

« Tu comprendras quand tu seras plus grande » son deuxième roman publié l’an dernier, quand je vous dis que je repoussais ce moment

« Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme.
Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n’avait pas atterri là par hasard ? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas ?
C’est l’histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire.

C’est une histoire d’amour(s), une histoire de résilience, une ode au bonheur. »

Voilà un livre que j’ai lu, où je me suis complètement épris de ces personnages, une histoire émouvante, réaliste, drôls, attachante où je n’ai pas vu venir cette fin. Je l’ai emporté partout avec moi, dès que j’avais même ne serait-ce que cinq petites minutes pour lire quelques pages.  Dans mon bus le matin à 7 heures il m’accompagnait, il me donnait le sourire, m’émouvait, j’ai failli quelques fois loupé mon arrêt… Les dernières pages je les ai lu dans ce bus de 7 heures, j’avais quelques larmes de tristesse, de tendresse, à la fois pour les personnages, l’histoire, mais aussi d’être arrivé à la fin.

Les romans de Virginie Grimaldi sont une drogue dissimulée en des mots de tous les jours, de ceux que vous vous prenez d’amitié pour ses héros. Une fois la dernière page tournée, je suis resté dans l’histoire quelques heures, quelques jours, j’aime ces histoires où on a du mal à en sortir, et vous ?

Vous l’aurez compris, je suis fan des livres de Virginie Grimaldi, il ne me reste plus qu’à acheter « Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie » et souhaiter qu’elle écrive encore et encore. 

PS : un de mes souhaits, qu’elle passe à Toulouse pour une séance dédicace